Allée, passage permettant aux modélistes d’exploiter le réseau
Fond de décor
Extrémité d’un réseau où la voie forme une boucle, du fait de la géométrie du réseau. À ne pas confondre avec une boucle de retournement.
Balloon où lighting valance et fascia se rejoignent pour masquer la courbe disgracieuse. Un Bellina drop agit comme diviseur scénique.
Nommé d’après Jerry Bellina.
Superstructure (du réseau).
Partie du réseau parfaitement à niveau. Par extension, désigne un réseau plat, sans rampes ni pentes.
The Tygart Valley Division de Tony Donatelli est un réseau double-deck.
Photo : Doug Scott and Michael Tylick, CC-BY-NC-SA, source (Model Railroad Hobbyist, avril 2021)
Réseau sur deux niveaux.
Ce type de réseau permet de gagner en longueur de voie, mais nécessite de nombreuses réflexions et des choix quant à la communication entre les niveaux (helix, nolix, ascenseur...).
Un réseau triple-deck est sur trois niveaux.
Voir aussi :
Section de voie en impasse montée sur charnière et dépassant du réseau. Hors opérations, cette section est rangée le long du fascia. En opérations, cette section est relevée et permet de faciliter les manœuvres.
Ce type d’aménagement présente comme inconvénient de rendre difficile l’ajustement de la voie, et, lors du fonctionnement du réseau, de parfois gêner les personnes.
Partie fixe d’un réseau où la voie traverse une aisle.
Pour franchir un duckunder, il nécessaire de passer sous cette section en s’accroupissant (« to duck under »). Pour ce faire, la partie du réseau concernée est souvent moins large que le reste du réseau, et la partie technique sous le réseau est limitée hauteur.
Si la voie sous laquelle passer est haute, et ne nécessite qu’un effort minimal pour se pencher et le franchir, on parlera alors d’un nod under (« to nod » signifiant « faire un hochement de tête »).
Ce type d’aménagement présente comme inconvénient d’être difficile à franchir pour certaines personnes : beaucoup de modélistes aux tempes grises disent regretter ce choix, pourtant génial sur le papier !
Face avant du réseau, au niveau des voies.
Élément du benchwork qui tient debout seul, par opposition à un élément accroché à un mur.
Un freestanding layout est un réseau qui tient seul, souvent posé au centre d’une pièce d’habitation.
Méthodologie de conception d’un réseau, consistant à faire deux listes : celles des impératifs et celle des préférences personnelles.
Trappe de visite (qui se soulève).
Rampe hélicoïdale.
Désigne une conception de réseau où les scènes clés d’un lieu réel sont représentées de manière convaincante, même si elles sont compressées ou réduites. L’important est qu’une personne connaissant le site, le bâtiment ou la scène reconnaisse le LDE choisi.
Partie d’un réseau montée sur charnières, où la voie traverse une aisle. L’ouverture de cette section se fait en plaçant la partie sur charnières à la verticale, comme un pont-levis.
Ce type d’aménagement présente comme inconvénient de rendre difficile l’ajustement de la voie.
Lighting valance sur un micro-réseau.
Berling Rivers par François Fontana.
Photo : Trizek, CC-BY-SA, https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Berling-Rivers-Fran%C3%A7ois-Fontana.jpg?uselang=fr
Panneau accroché au plafond d’un réseau fixe, ou en haut d’un module en shadowbox, permettant aux personnes regardant le réseau de ne pas être éblouies par l’éclairage.
Voir aussi : valance
Réseau constitué de modules, normalisés ou non.
Réseau fixe conçu par tronçons, afin d’être facilement déménagé.
Réseau double-deck sur lequel seul un des deux niveaux est visible à la fois. Le niveau le plus haut nécessite parfois de surélever le sol de la pièce où il est installé.
Le modéliste Richard Benjamin est à l’origine de l’idée, qui a été conceptualisée par John Armstrong dans Model Railroader de octobre 1987.
Type de réseau double-deck, où la voie principale est en rampe, permettant aux trains de changer de niveau progressivement sans avoir a passer par une rampe hélicoïdale (« helix »).
Réseau destiné à être transporté, pour être, par exemple présenté en expositions.
Une « boîte à ombre », désignant un principe de présentation du réseau avec une délimitation claire des scènes par le biais d’un habillage sombre.
Le terme est arrivé dans les années 1990 en Europe francophone, et a été rapidement transformé en « showbox ». Le glissement est sans doute du au fait qu’un showbox (de « show », « montrer », et « boîte », « box ») est souvent montré en expo (en show) et permet de montrer le réseau miniature.
Terme inventé par John Armstrong, désignant un réseau où le train ne passe qu’une seule fois par scène.
Il est issu de la linear design philosophy (philosophie du design linéaire) présentée en 1995 par David Barrow dans Model Railroader.
Masque allant du bas du réseau jusqu’au sol, destiné à cacher les dessous du réseau. Le terme curtains (rideaux) est parfois employé pour un masque en tissu
Partie d’un réseau montée sur charnières, où la voie traverse une aisle. L’ouverture de cette section se fait en ouvrant la partie sur charnières comme une porte.
Ce type d’aménagement présente comme inconvénient de rendre difficile l’ajustement de la voie.
Vue virtuelle d’un table-top layout.
Image : Nathan Marciniak, CC-BY-NC-ND, source
Réseau posé sur une table, ou prenant la forme d’une table. Il s’agit souvent du premier réseau type, basé sur la taille d’une planche standard de contreplaqué (de 4 par 8 pieds).
Un module après l’autre !
La taille du module importe peu, l’important est de le terminer avant de passer au prochain.
Photo : BEn, CC-BY-NC-SA, source
Technique de construction d’un réseau consistant à diviser ce réseau en modules et à ne travailler qu’un seul module à la fois. L’objectif est de permettre de travailler sur un seul élément, sans se disperser.
Terme popularisé par Joe Fudgate à partir des années 2010, bien que le concept existe depuis longtemps en Europe.
Réseau conçu pour que les opérateurs et opératrices suivent le train qui leur est assigné.
L’autre type de contrôle consiste à diriger les trains depuis un poste fixe.
Le terme s’applique également aux commandes adaptées à ce type de réseau (walkaround cab, walkaround control...)
Type de réseau où il est possible pour les personne de « rentrer » dans le décor, via une aisle.